#MeetLFDE - Equipe Benelux

Stéphane Van Tilborg, Frédéric Jacob & Peter Jansen, équipe Benelux LFDE

 

Quel est votre parcours ?

Stéphane Van Tilborg : J’ai débuté chez les ‘Big 4’, chez PwC, puis Deloitte, avant de créer un cabinet de conseil indépendant. J’ai découvert l’univers de la finance en travaillant pour un CGP belge, puis une compagnie d’assurance luxembourgeoise, et enfin un asset manager français. Pendant plus de 20 ans, j’ai concilié la finance et ma passion pour le basketball. J’ai évolué en 1ère division belge et en équipe nationale à plusieurs reprises. En 2018, j’ai rejoint La Financière de l’Echiquier (LFDE) en qualité de country manager pour le Benelux.

Peter Jansen : Après des études en Sciences économiques appliquées et un Erasmus à Athènes qui m‘a donné goût pour l’international, j’ai moi aussi commencé chez un des ‘Big 4‘, comme auditeur financier chez PwC. Je me suis ensuite orienté vers des banques, comme Banque Degroof et ING, avant de rejoindre LFDE en 2019.

Frédéric Jacob : J’ai débuté par le monde de la banque, avant d’évoluer vers la gestion de portefeuille, et notamment la gestion privée. J’ai été responsable de la relation clients institutionnels puis co-responsable du marché belge pendant 9 ans pour un asset manager français. J’ai rejoint Stéphane à la Financière de l’Echiquier en 2018.

 

Quels sont, pour un asset manager français, les défis sur le marché du BENELUX ?

Toute l’équipe : Le principal défi repose sur la prononciation du nom « La Financière de L’Echiquier » !

Peter : Le Benelux est polyglotte : on y parle français, flamand, anglais, allemand ou encore luxembourgeois. Nous n’avons d’autre choix que de nous adapter en permanence !

Stéphane :  Et cette adaptabilité nous est conférée par notre métier d’artisan de la finance, nous offrant une proximité avec nos clients. Cette flexibilité nous permet d’être rapide et efficace dans nos lancements de fonds ! Si ces avantages peuvent séduire, la taille et le manque de visibilité internationale peuvent être un frein, en comparaison avec les firmes anglo-saxonnes.

Frédéric : Le BENELUX est un marché très concurrentiel et notre tâche est, au-delà des indispensables qualités de flexibilité et d’adaptabilité soulignées par Peter et Stéphane de faire rayonner La Financière de l’Echiquier au travers de ses fonds mais aussi de son engagement en faveur de l’investissement responsable et de projets locaux soutenus par La Fondation Groupe Primonial. Cela donne un sens et une dimension supplémentaire à notre métier.

 

Avez-vous une passion ?

Frédéric : J’aime les voyages, l’art, la culture, et la découverte permanente de nouveaux artistes et œuvres. Je suis bluffé de constater l’intemporalité de l’art. Le Requiem de Mozart ne perdra par exemple jamais de sa grandeur ! Autre forme de culture, je suis un partisan du « wining and dining », que j’essaye d’équilibrer avec une pratique régulière du sport.

Stéphane : Au-delà du basketball, j’adore voyager, loin de chez moi de préférence, et découvrir de nouvelles cultures et gastronomies notamment. Bon vivant comme Frédéric, j’ai un faible pour la cuisine antillaise et créole, et suis amateur de rhums.

Peter : Les marchés financiers, évidemment, et sur une note différente, les costumes. J’ai d’ailleurs créé ma propre marque sur-mesure, par passion, certes, mais également par nécessité car trouver des vêtements qui me vont bien du haut de mes 2m03 est un brin complexe !